HRP
Age: 19 ans
Comment avez vous trouver le forum: j'ai reçu un Mp sur un forum RPG et me voilà
Vos horaires sur le forum: Globalement je suis disponible tous les jours, après ça dépend des études, etc... mais comptez sur moi.
RP
Nom: Pas de nom juste un surnom "Eagle"
Prénom: Jûdenki
Age: 28 ans
Grade: Chef ANBU ou bras droit de l'Hokage avec un niveau d'ANBU si c'est possible (j'aimerai bien ^^)
Affinité(s): Katon/ Fuuton.
Capacité particulière: Ninjutsu, à la capacité de composer ses jutsus d'une main.
Physique
Jûdenki est âgé de 31 ans, mesure 1m84 pour 78 kilos. En terme de corpulence, c’est quelqu’un d’assez imposant, en témoigne ses muscles saillants au niveau du torse et des bras à force de manier le sabre. Il fait vraiment musclé par rapport au cliché qu’on a d’un artiste qu’on imagine fin et menu.
Il a des cheveux longs noirs grisaillés avec des reflets bleus arrivant jusqu’à la moitié de son dos sur l’arrière et masquant partiellement son visage sur l’avant. Il a des yeux châtains qui rappelle la couleur d’un bureau en bois fais artisanalement. Les traits de son visage sont doux et délicats, à s’y méprendre on pourrait croire que cet homme n’a jamais été ninja tant son visage n’a pas la trace de coup.
Parlons de sa tenue vestimentaire maintenant, eh oui mesdames et peut-être messieurs, Jûdenki ne se promène pas nu même si je pense que ça ne le dérangerait pas. Il porte un kimono traditionnel d’un gris bleuâtre. Ce dernier a des manches longues qui recouvrent l’intégralité des bras et une partie des mains, ce qui masque totalement les mouvements du shinobi. Le kimono descend jusqu’à ses pieds chaussés de sandales. Le tout étant maintenu par une ceinture bleu, bleu que les enfants utilisent pour colorier la mer pourtant transparente… (fin du cour).
Signes distinctifs, il y en a plusieurs :
- Le sabre au manche doré et à la lame argentée rangé dans un fourreau bleu ciel accroché à sa ceinture.
- La pipe (en bois) qu’il a souvent dans sa bouche. La pauvre n’a pas de répit elle est utilisé H24. Faut croire que le tabac ça ne côute pas cher !
- La cicatrice assez imposante qu’il a dans son dos mais qu’il masque sous son kimono. Il considère que cette blessure l’a fait grandir (voir histoire).
Mentale:
Le comportement de Jûdenki c'est en 2 mots: l'énigme absolue ! En effet, il est difficile de décrire son comportement car en fonction de la situation ses réactions peuvent être totalement opposées.
C’est un shinobi au tempérament plutôt calme et serein. Il n’est pas du genre à perdre le contrôle de lui même pour rien. La plupart du temps, Jûdenki va préférer rester silencieux pour prendre du recul aux provocations ou à sa situation. Il a une astuce pour garder son calme en toutes circonstances : le tabac. Oui, encore un fumeur, ça fait de la peine mais malheureusement c’est la vie. Il fume la plupart du temps à la pipe car il trouve ça plus poétique mais il n’a rien contre une cigarette roulée. En gros, tant qu’il s’en grille une petite, rien ne va l’angoisser, l’inquiéter ou même l’agacer. On va dire qu’il savoure chaque seconde de la vie à un rythme plutôt cool. Cependant, le premier élément paradoxal de son comportement, c’est ses phases d’impulsion quand : on l’empêche de finir son moment « tabac ». Demander à son entourage et vous verrez que tous ceux qui l’ont empêché de finir de fumer l’ont regretté amèrement. Cet homme considère que la vie se résume en de multiples petits plaisirs qu’il ne faut pas arrêter lorsqu’ils sont en cour. Pour illustrer mes propos, voici l’exemple type : Un jour Jûdenki fumait une cigarette avant d’affronter un mercenaire qui avait capturé la fille d’un haut dignitaire de Konoha. Ce mercenaire avait attaqué de suite sans frais. Jûdenki avait esquivé l’attaque mais pas sa cigarette. Résultat, un mercenaire qu’on a retrouvé mort les yeux brûlés par une cigarette. Cette histoire met clairement en avant un comportement diamétralement opposé. Ce comportement est récent. Jûdenki était ami avec Asuma Sarutobi, tué par Hidan membre de l’akatsuki. A l’époque, Jûdenki ne fumait pas, c’est la mort de son ami qui a déclenché ce besoin. En fumant, il a l’impression que son meilleur ami est avec lui. L’empêcher de savourer ce moment, c’est comme tuer Asuma une seconde fois. Ce shinobi représente donc « le calme avant la tempête ».
Il aime bien s’isoler dans un coin et penser. C’est un homme qui respecte énormément les écrits du passé, soit dit en passant c’est un grand fan des livres écrits par Jiraya. Il accorde beaucoup de son temps à l’art, lui même se considérant come un artiste doué au sein des shinobis. Il est très doué en dessin, selon lui le dessin et plus symbolique qu’une simple photo. On peut y ajouter une touche personnelle et enregistrer une œuvre d’art dans la culture d’un village. Dans son kimono, il porte toujours un petit cahier avec un crayon pour dessiner ce qu’il voit ou noter des phrases types et accrocheuses pour le livre qu’il va écrire. Oui, le succès de son modèle Jiraya en tant qu’écrivain lui a donné envie de suivre cette voie.
Aux yeux des autres, il a un profil assez sympathiques et très galant avec les femmes. Il aime échanger des idées, discuter de choses et d’autres, c’est vraiment une personne qui croque la vie à pleines dents. Il n’hésite pas à « s’aérer » l’esprit pour se changer les idées et récupérer. C’est un grand philosophe dans l’âme. Tisser des liens avec lui s’avère donc chose.
Il est très expressif au niveau du visage, il ne cache pas ses émotions dans la vie de tous les jours, tous le contraire en mission, ou il semble totalement inexpressif et blasé. Ça reste quelqu’un de souriant et accueillant à en rappeler un certain Jiraya sur certains traits.
Parlons de ses défauts. Il est parfois difficile à comprendre lorsqu’il part dans ses délires artistiques. En effet, l’art et la poésie occupent une place importante dans sa vie, place que beaucoup de monde n’arrive pas à prendre. C’est quelqu’un de direct, il n’a pas la langue dans sa poche, il a beau avoir un naturel en diplomatie, il ne va pas hésiter à froisser un haut dirigeant dans le but de le faire réagir. Sa principale faiblesse est son empathie pour les autres au point parfois d’en être naïf.
Il déteste les individus manipulateurs qui jouissent de leur puissance financière ou hiérarchique pour écraser les autres. La lâcheté, l’hypocrisie et la violence gratuite sont des choses qu’il bannit au plus haut point.
Emotionnellement, il espère trouver la femme de ses rêves, à savoir une jeune femme jolie et compréhensive envers ses passions et son métier de shinobi.
Dernière caractéristique, il aide souvent n’importe qui, n’importe quand. L’utopie de sauver la veuve et l’orphelin est sans doute un des vœux les plus chers même s’il a parfaitement assimilé le fait que cela reste fantaisiste.
Histoire du personnage:
Mon commencement est une naissance
[justify]Jûdenki est née dans un village au Nord de Konoha dans une famille noble qui avait fait fortune dans le textile. Sa famille est très connue dans le milieu, elle était puissante et respecté : le clan Doisûke. Au fil des générations, elle avait su imposer ses règles pour atteindre le sommet. On peut dire que Jûdenki était bien né. Son avenir était déjà tracé, reprendre le flambeau de son père aux commandes de l’entreprise familiale pour accroitre l’influence de cette famille sur le marché des vêtements.
Une enfance aux priorités bien ciblées
Au fil des ans, le Jûdenki s’affirmait comme étant un enfant borné allant souvent à l’encontre des directives de son père. Il était très proches de la « piétaille » comme disait son père ou des ouvriers de l’entreprise comme nous dirions nous avec nettement plus de respect. Jûdenki les trouvais drôle, joyeux et honnête. A 4 ans, il a très vite compris que son avenir ne serait pas celui que son père lui dédie, il y a trop de divergences d’opinions et ceux malgré le très jeune âge de l’enfant car il était anormalement mature !
Ses priorités étaient diverses mais pour faire simple : tous ce qui l’éloigne de l’éducation paternel. Adieu les mathématiques, les notions de management et de gestion d’un business (ouai formation école de commerce à 4 ans, un fou ce Jûdenki je vous dis Oo !) et bonjour le dessin, les chants, les rires et les jeux en tout genre. Sa mentalité était bien opposée aux clichés que sa famille avait depuis des générations. Le respect des Hommes en général, le respect pour l’art toutes ces choses sont considérées comme misérables par sa famille. Le seul point commun que le jeune homme est parvenu à trouver avec son père est le travail. Pas de réussite sans travail et c’est bien là la seule et unique similitude entre les deux hommes. Le gouffre se creusait déjà entre le chef de famille et le descendant…
Un choix, une destiné, une voie : celle d’un ninja
Jûdenki avait pris sa décision suite à l’appui de plusieurs personnes en qui il avait confiance, il allait devenir un ninja, rien de plus, rien de moins. Il n’avait que 8 ans soit l’âge d’entrée à l’école des ninjas que déjà il affirmait ses positions comme un adulte responsable (responsable à 8 ans, que c’est drôle). Après s’être opposé un long moment face au désir de réussite certaine que son père lui garantissait, Jûdenki décidait d’aller à l’école et de se débrouiller seul avec un peu d’huile de coude.
Très tôt, il se rendit compte qu’il appréciait le contact avec des jeunes de son âge, en cour il avait le statut de l’enfant toujours de bonne humeur quoi qu’un peu dissiper. Il était plus accès sur les jeux à la cour de récréation que sur les cours en eux même. Les seuls cours qui lui plaise étaient, vous vous en doutez : les cours d’arts plastiques et de littérature. C’était un adorateur des dessins et des mots, cette passion va perdurer jusqu’à aujourd’hui. C’est une de ses rares passions que son père appréciera chez lui.
Les années d’études passèrent et Jûdenki s’imposait comme étant un exemple pour la plupart de ces camarades : drôle, gentil, beau pour certaines, doué, raffiné avec son sens de l’art. Ce n’était pas le plus doué en terme de résultat mais il se démarquait de par son autonomie et sa vision large du monde extérieur. Il avait un potentiel plus qu’exploitable pour Konoha…
Plus tard il choisira d'abandonner son nom de famille. Il se considèrera totalement opposé à la pensée de son père. La honte des valeurs prônées par sa famille vont le dégouter au point qu'il abandonnera son nom, son héritage, tous ce qu'il aurait pus posséder. Jûdenki ne court pas après toutes ces choses. Ce choix sera sans doute le choix qui lui tiendra le plus à coeur.
Un shinobi au sein d’une génération dorée
Jûdenki a pendant une période fait partie des espoirs du village de Konoha. Il était dans ce qu’on appelle la génération dorée avec Asuma Sarutobi (18 ans), Kakashi Hatake (20 ans) et lui 19 ans (je me base sur la période où ils étaient jeunes, l’écart d’âge est respecté, ne vous en faites pas j’ai vérifié =D). Il était considéré comme un potentiel successeur aux meilleurs ninjas du village avec pourquoi pas au bout du tunnel un poste d’Hokage. C’était un avenir plus que prometteur pour un shinobi qui ne s’est jamais pris la tête pour arriver au sommet. Ses compétences étaient reconnus et le sont toujours, il avait des réflexes, une vitesse de mouvement et une vision extrêmement aiguisée, ces capacités lui ont valut le surnom de "Eagle". L'aigle réunissait la plupart de ses capacités, lui aussi avait son surnom après le "Ninja Copieur" et "le Tigre de Jade". Comme quoi Kishi' l'a oublié dans le manga, ça s'explique pas, c'est une faute professionnelle x)
Cependant, Jûdenki a l’inverse des autres n’a pas su passer au delà des attentes et est passé peu à peu dans l’anonymat en évitant les mouvements de foules trop fréquents et les missions trop « médiatisé » après leur exécution, à l’inverse de son meilleur ami Asuma Sarutobi.
Une amitié proche, riche en motivation
Asuma Sarutobi était dans la même classe que Jûdenki à l’époque où il était gosse. Ils étaient inséparables, partagés différentes choses, exécuter des missions ensembles, bref l’amitié parfaite. L’opposition qui les différenciés étaient le tabac. Asuma fumait comme un pompier, Jûdenki absolument pas. L’un était fan, l’autre totalement contre. Asuma a gagnait de plus en plus en notoriété au sein du village alors que Jûdenki était souvent dans l’ombre de celui-ci (mais ça l’arrangeait bien d’être discret). Ils se sont peu à peu perdu de vu quand Jûdenki a décidé de faire partie de l’ANBU et Asuma de devenir sensei. Ils ont gardé contact par « coup de vent » l’un étant toujours très occupé pour être disponible.
Un jour, Asuma partit en mission « à la chasse » à l’akatsuki comme disait Jûdenki. Jûdenki ne prit pas la peine de saluer son ami, il y eu juste un petit pari entre les deux. Asuma avait dit au jeune shinobi une phrase qui le marquera toute sa vie : « si un jour je ne peux plus fumer, fume en une pour moi, tu verras c’est pas forcément mauvais ». De cette chasse à l’homme, Asuma ne revint pas. Le coup fut dur à encaisser pour Jûdenki qui décidade travailler et de revenir un jour sur les devants de la scène en la mémoire de son ami mort au combat. Il gardait en lui une profonde reconnaissance envers Shikamaru Nara qui avait vengé son ami…
Depuis, la pipe en bois ne le quitte plus, et chaque inspiration de fumée de tabac représente un souvenir de son ami.
Le défi d’une vie, la 3e guerre ninja !
Jûdenki était un des premiers à être prêt pour aller au front. Affronter l’akatsuki était quelque chose qui lui procurait la motivation, la petite flamme de détermination qu’il n’avait pas assez souvent. Il avait demandé de faire partie de l’unité de Kakashi et Gaï Maito, 2 génies de la « génération dorée » pour assurer les arrières de ceux qu’Asuma considérait comme une seconde famille. Le shinobi fut un des rares survivants de cette unité, non sans la moindre blessure. Il avait été frappé violemment par un épéiste légendaire dans le dos alors qu’il se battait contre un autre épéiste. Il a été sauvé par un clône de Naruto au moment où l’invoqué de l’Edo Tensei allait lui porter le coup fatal. Malgré sa grave blessure, il a tant bien que mal continuer le combat pour faire honneur à son ami Asuma. On peut donc dire que c’est cette amitié qui la menait jusque là.
A son retour de Konoha, il sera de suite pris en soin intensif car il avait perdu énormément de sang. Aujourd’hui on peut distinguer une cicatrice imposante dans son dos. Pendant quelques temps, le jeune shinobi a mit du temps à retrouver une mobilité naturelle, mais maintenant il est de nouveau opérationnel.
Et aujourd’hui, ça donne quoi ?
Jûdenki est de plus en plus populaire malgré lui depuis son retour du conflit. Il passe après Naruto, Kakashi et tout ces grands noms. Il estime qu’il n’en fait pas partie et qu’il ne le mérite pas. Ce shinobi confirmé aspire à diriger l’ANBU ou de devenir le bras droit de l’Hokage, et pourquoi pas dans une dizaine d’année devenir Hokage ? Après tout le destin réserve bon nombres de surprises…
[justify]
PS: Le forum à l'air cool, je suis content de pouvoir être dans un forum qui est parti pour être actif (parce que celui où je suis tombe dans l'inactivité totale). En gros J'AIME !!!
Sujet: Jûdenki Eagle, un artiste pas forcément doué... FINI 
Lun 12 Déc - 17:28
